Bilitis Poirier, quel est ton parcours ?

Un parcours plutôt libre, d’abord couvé sous un Poirier, j’ai commencé par caqueter du côté de la Commedia Dell'arte, j’ai gratté la terre des ateliers de Haute Couture parisiens, puis fardés des becs de poules au cinématographe.

Je me suis nichée dans les coulisses avec mon argentique et j'ai déployé mes ailes par delà les frontières de la basse-cour, confectionnant des huppes sur mesures pour têtes de luxe, avant de revenir à l’assemblage de clichés, de films beauté et de documentaires.  

Il me restait quelques plumes sur le plastron pour imaginer  « Plumifère », sculptures à l’aiguille de plantes imaginaires. 

Aujourd’hui, je remets la main à la plume, couleur encre de Chine.

 Je ne suis pas très "métaphore volatile". Aurais-tu des photos ?

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